Qu’est-ce qu’un chien dangereux ?
Quand qualifie t-on un chien de dangereux ?
Et surtout, comment le devient-il ?
La dangerosité perçue ou réelle découle moins d’un tempérament que d’un ensemble de facteurs éducatifs, environnementaux et relationnels.
Comprendre ces mécanismes est essentiel pour prévenir les incidents, accompagner les propriétaires et favoriser une meilleure cohabitation entre l’humain et l’animal.
CE QUE DIT LA LOI FRANCAISE : LOI no 99-5 du 6 janvier 1999
Un « chien dangereux » est un chien susceptible de représenter un danger, aussi bien pour les personnes que pour les animaux domestiques. Mais attention : si les chiens catégorisés sont par défaut considérés comme dangereux (Art. L211-11 du Code rural et de la pêche maritime), un chien dangereux n’est pas forcément un chien catégorisé ! Les chiens susceptibles d’être dangereux sont classés en 2 catégories en fonction de leurs caractéristiques morphologiques (Art. L211-12 du Code rural et de la pêche maritime).
Ne sont pas autorisées à détenir un chien de catégorie 1 ou 2 :
– les personnes mineures
– les personnes majeures sous tutelle (sauf si autorisation par le juge des tutelles)
– les personnes condamnées (crime ou peine d’emprisonnement pour délit inscrit au bulletin n°2)
– les personnes auxquelles on a retiré le droit de possession ou de garde d’un chien.

Pour autant, aucune étude scientifique n’a démontré qu’un chien de catégorie 1 ou 2 présente un danger supérieur à celui d’un chien non catégorisé, qu’il s’agisse d’un Dogue argentin, d’un Kangal, ou de toute autre race, inscrite ou non au LOF.
Ce n’est pas la loi qui fait d’un chien une arme, c’est l’homme.
UN CHIEN NE NAIT PAS DANGEREUX :
Un chien ne naît pas dangereux, il le devient. A la naissance, un chien est une page vierge que la vie va modeler (vieillesse, maladies, éducation, élevage). Un mauvais ‘naisseur’ (éleveur ou particulier faisant naître des chiots dans de piètres conditions) ou un maître non adapté au chien sont créateurs de chiens dits dangereux (cf. Article/Etes-vous à prêt à accueillir un chien ?) .
Un chiot élevé sans repères, sans cadre sécurisant, ou au contraire dans la violence et la peur, développera des comportements inadaptés. Certains mordront pour se défendre, d’autres pour obtenir ce qu’ils veulent.
Et quand ces comportements se répètent, le chien apprend leur efficacité : grogner, intimider, mordre… devient pour lui un moyen de communication. Le problème n’est pas la réaction elle-même, mais le conditionnement qui la renforce.
Les agressions de vieillesse, maladies sont particulières et rares. Il appartient au maître de connaître et anticiper les moments de fatigue de son animal.
Certains chiens deviennent dangereux malgré une éducation correcte, notamment à cause : de facteurs génétiques (rares mais réels), de traumatismes précoces, ou de troubles neurologiques.
COMMENT PERCEVOIR QU’UN CHIEN EST DANGEREUX ?
Un chien dangereux, est un animal qui n’hésite pas à utiliser l’agression en mode de communication. Il sait qu’avec la menace (grognement, utilisation de sa stature) ou la morsure, il peut arriver à ses fins et obtenir gain de cause dans telle ou telle situation. Et cela, il le comprend dès son arrivée au sein du foyer.
L’agression devient alors un comportement « appris » et auto-renforcé : elle procure un soulagement ou un résultat concret (éloignement, obtention d’une ressource, arrêt d’une contrainte).
Un chien qui franchit systématiquement la phase de morsure sans avertissement est considéré comme à risque. Cependant, dans la majorité des cas, l’humain n’a pas su ou pas voulu interpréter les signaux d’alerte préalables.
L’agression chez le chien possède trois phases : La menace, la morsure et l’apaisement. Un chien qui a recours à la menace pour accéder à une ressource ou se soustraire à un moment d’inconfort pour lui, est déjà un des signes de dangerosités.
Un chien présentant un fort instinct de prédation (tendance marquée à poursuivre tout ce qui bouge) peut être considéré comme à risque. Ce type de comportement, comme celui d’un chien qui se lance derrière un cycliste ou un coureur, peut rapidement devenir dangereux.
Certains chiots ont des caractères forts et s’ils sont éduqués comme des ‘doudous’, sans cadre sécurisant, ils imposent leurs règles en grandissant. Et ce sont alors des règles de meutes d’animal sauvage où l’instinct refait surface, c’est le plus fort qui commande. Si c’est un Pinscher qui n’autorise pas les visites d’autres personnes à la maison, c’est encore gérable (quoi que !) mais si c’est un Labrador ou un Kangal, cela peut être extrêmement dangereux, voir mortel !

NOTA BENE :
Les recherches récentes montrent que les chiens peuvent établir des relations hiérarchiques (dominant/subordonné) dans certains contextes, mais ces hiérarchies sont souples, tolérantes et multidimensionnelles.
L’étude de Bradshaw, Blackwell & Casey (2009) souligne qu’il n’existe pas de “chien alpha” universel : la dominance décrit des relations locales entre individus, pas une pyramide sociale rigide. Des travaux observationnels (Cafazzo 2010, van der Borg 2015, Trisko & Smuts 2015) confirment l’existence de structures hiérarchiques linéaires mais flexibles, surtout dans les groupes stables. Les enquêtes de Kubinyi & Wallis (2019) et les études expérimentales récentes (Vékony 2024) montre que le rang social influence le comportement, mais dépend du contexte (leadership, accès aux ressources, interactions sociales).
En somme, les chiens n’agissent pas par volonté de “dominer”, mais selon des règles sociales adaptatives liées à l’expérience, à l’apprentissage et à la valeur subjective des ressources.
Ces travaux confirment ce que j’observe aussi sur le terrain :
Le comportement d’un chien dépend avant tout de la qualité du lien qu’il entretient avec l’humain. Le chien n’agit pas pour « dominer », mais pour trouver sa place dans un cadre social cohérent. L’humain doit lui offrir ce cadre : sécurisant, prévisible, stable et juste.
LES DIFFERENTS PROFILS DE CHIENS DANGEREUX :
LE CHIEN SANS CADRE :
Absence de règles claires, incohérence éducative, laxisme. Individus à personnalité affirmée, mal compris ou sous-stimulés. Le chien finit par gérer seul les situations, parfois par la contrainte.
Si je schématise, il y a des chiens qui ne tenteront jamais de franchir la barrière de leur enclos parce que le renforcement positif au « oui » est suffisant.
Et il y a des chiens qui vont essayer de franchir la barrière.
Pour certains, il va suffire de les rediriger vers l’intérieur ou de les ignorer quand ils vont hors de l’enclos et ils vont d’eux mêmes réintégrer l’enclos pour être valider.
Pour d’autres, ils vont sortir de l’enclos parce que peu leur importe d’être ou pas récompensés, ou ignorés. Sortir de l’enclos, leur apporte du confort.
Pour ceux-là, le « Non » est impératif. Il doit créer un « inconfort » et donc les obliger à retourner dans le confort, dans leur enclos.
ATTENTION : Le « Non » ne doit pas être crié, ni violent et parfois prononcé plus fortement. Il ne doit jamais s’accompagner d’intimidation, de douleur ou de peur. Son efficacité repose sur la fermeté calme, la cohérence, la bienveillance et la constance du maître. C’est un repère verbal qui signale une limite. Bien utilisé, il fait partie d’une communication structurée et respectueuse.
Ce chien à qui on ne dit pas « Non », deviendra le roi en son domaine, il se sentira fort et sûr de lui. Sur un chien sans forte personnalité, cela n’aura pas forcément d’incidence, mais si le chien présente une personnalité au caractère bien trempé (têtu), il prendra l’ascendant sur ses maîtres et il y aura forcément un accident. Les chiens dits « têtus » sont souvent moins sensibles à certains types de renforcement.
Un chiot à fort caractère qui lorsqu’il était petit a fait peur à ses maîtres par ses mordillements, comprendra rapidement que c’est un moyen de pression et le mordillement deviendra une morsure. Les morsures seront donc sa réponse à tout : ne pas porter de laisse, ne pas se laisser manipuler, ou au contraire qu’on n’arrête pas de le caresser. Il saura faire comprendre qu’on ne s’approche pas de sa gamelle, etc…
Exemple : Aslan, Kangal de 4 mois a mordu le nez de l’un des jeunes enfants de la famille pour obtenir un morceau de pizza. L’ensemble de la famille a pris peur, si bien que le chien s’est retrouvé cantonné au jardin où son caractère de gardien s’est développé. Il a rapidement compris qu’à coups de crocs, il obtenait ce qu’il voulait et l’accident de trop est survenu un matin. L’aîné des enfants a voulu le faire rentrer dans le garage avec un biscuit. Le biscuit n’est pas arrivé assez vite et Aslan a donc transpercé le bras de son jeune maître pour qu’il se dépêche de lui donner le biscuit. Ce n’était pas sa première morsure, mais ce fut celle de trop pour la famille.

LE CHIOT NE DE MAUVAIS NAISSEUR (cf. Article/Comment bien choisir son éleveur) :
Un chien mal sevré, qui a perdu sa mère tôt n’aura pas appris à inhiber sa morsure. Il n’aura pas appris à faire doucement, à prendre la mesure de la force de ses dents. Il n’aura pas appris à communiquer son mal-être ou son envie d’être tranquille. Ce sont des chiens qui ont des morsures violentes et sans forcément de signes précurseurs.
Les naisseurs sont les premiers responsables. Soit par leurs conditions d’élevage, soit par le choix du chiot pour telle ou telle famille. Des prédispositions de caractère existent, mais elles ne font pas tout. Il y a toujours dans une portée le petit « loup » et le doux « agneau ».
Exemple : Simba, Rottweiller, fut séparé de sa mère à l’âge d’un mois et mis en vente. Le chiot, mal sevré, n’apprit pas à inhiber sa morsure, à accepter la frustration et fut mal guidé dès son plus jeune âge par des adoptants ne sachant pas. Les adoptants ont essayé l’école du chiot en club canin, mais très vite le chiot fut mis de côté, ne sachant pas s’arrêter dans le jeu, se comporter avec ses congénères et devenant de moins en moins manipulable par les hommes.

Ce chien est arrivé en rééducation, fort de toutes ses victoires. Il a appris que sa mâchoire pouvait lui donner tout ce qu’il voulait. Il a appris que ses grognements, sa stature, pouvaient tout lui obtenir et n’a jamais appris chiot comme adulte, qu’il y a des règles et des limites.
Ce chiot dans une famille possédant les bases de l’éducation ne serait sûrement pas devenu ce qu’il est devenu. Il aurait dû apprendre que sa gueule ne doit pas être utilisée à mauvais escient. Il aurait été mis au contact de chiens adultes dès son plus jeune âge plutôt qu’avec des chiots et aurait donc appris rapidement à communiquer.
UN CHIEN CRAINTIF PEUT DEVENIR DANGEREUX :
Il utilise l’agression pour éloigner un danger perçu. Sa morsure est une défense, non une attaque.
Dans une portée de chiots, il y a toujours plusieurs profils : le craintif, l’indépendant, le fort, etc… Ces traits de caractère, en fonction de l’éducation du maître peuvent donner des chiens équilibrés, mais peuvent également donner naissance à des chiens aux comportements inadaptés et à des chiens dits dangereux.
La peur est l’une des causes les plus fréquentes de morsures. Un chien craintif pourra mordre pour éloigner de lui l’objet de sa crainte. Il aura au préalable, menacer l’objet de sa crainte et si cela ne suffit pas, il mordra.
Chez ces chiens, la prévention passe par la désensibilisation progressive, la mise en confiance et l’accompagnement dans les situations de stress. Un chien craintif doit avoir un maître qui lui apprend à affronter le monde sans crainte. Le maître est le référent, le protecteur : « Tu as peur, tu restes près de moi, je tuerais les dragons (sac poubelle volant dans une ruelle) pour nous protéger. Tu n’as pas à t’en préoccuper. »
La confiance est le premier rempart contre la peur, et donc contre la morsure.
UN CHIEN MALTRAITE PEUT DEVENIR DANGEREUX :
La violence subie déclenche, à terme, une réponse de survie.
La maltraitance physique ou psychologique est un facteur aggravant majeur. Un chien battu, attaché, privé de contacts ou de stimulations, perd toute capacité à se réguler. Lorsqu’il finit par mordre, ce n’est pas par vice mais par désespoir ou survie.
Réhabiliter un chien maltraité nécessite patience, respect et expertise. L’objectif n’est pas de « dompter », mais de restaurer la confiance. Chaque progrès, même minime, est un pas vers la reconstruction du lien humain-animal.
Exemple : Néo, chien roumain, 8 ans lors de notre première rencontre. Néo a été battu par l’humain jusqu’à ses 7 ans. Pour survivre, un jour, il s’est défendu parce que faire sur lui, pleurer, se coucher n’a jamais empêché l’homme de lui faire du mal. Et lorsqu’il a commencé à se défendre, il a alors décidé que plus jamais il ne se laisserait toucher. Il aura fallu 6 mois d’effort bilatérale pour qu’il comprenne que je ne lui voulais pas de mal et que jamais je ne lui ferais du mal.

La confiance se regagne pour ceux qui ont trop enduré. Il n’est pas impossible de rééduquer les chiens craintifs ou maltraités.
ROLE CENTRAL DU CADRE EDUCATIF :
Le chien est un animal social qui a besoin d’un cadre. Ce cadre n’est ni autoritaire ni permissif, mais structurant, constant et sécurisant. L’éducation repose sur la clarté des signaux, la cohérence des règles et la répétition des apprentissages.
Le mot « Non » en est un bon exemple : Rappelez-vous les chiens pour qui le renforcement positif ne suffit pas (chapitre : Les chiens sans cadre). Le « Non » ne doit pas être crié, menacé ou violent et parfois prononcé plus fortement. C’est un repère verbal qui signale une limite. Son efficacité repose sur la fermeté calme, la cohérence, la bienveillance et la constance du maître. Bien utilisé, il fait partie d’une communication structurée et respectueuse. Il est important de lire parfaitement le chien pour comprendre quand apparaît « l’enfant tyrannique » et comment calmer la crise sans rentrer en conflit. Un chien qui ne veut pas mettre sa muselière ou se masturbe sur votre jambe, doit-on le laisser faire sa crise et céder ? Non, mais la façon de ne pas céder devra s’inscrire dans la patience, car la rééducation au « Non » peut-être de très longue durée.
Un chien élevé sans cadre stable se trouve en insécurité permanente. Il compense alors en prenant le contrôle des situations, ce qui, avec un gabarit important, peut devenir dangereux.
La rééducation d’un chien dangereux est un travail d’orfèvre. Chaque chien a son histoire, et certaines sont lourdes à réparer. Ce type de chien doit être rééduqué par un(e) professionnel(l)e expérimenté(e) à la gestion des comportements à risques.
Elle demande du temps, et nécessite une grande maîtrise gestuelle et émotionnelle, une lecture fine de leur langage corporel et une constance absolue. Une main de fer dans un gant de velours est nécessaire dans la prise en main avec ce type de chien. Les maîtres mots sont : Ne rien lâcher sans jamais chercher le conflit, constance, fermeté tranquille, patience, bienveillance et cohérence.
Certains chiens, souvent issus d’un parcours complexe, ont acquis une conscience aiguë de leur puissance. Ils savent qu’ils peuvent contrôler l’humain par l’intimidation et le tuer d’un coup de croc après l’avoir fait tomber d’un coup de patte.
C’est là qu’est toute l’essence du chien dangereux, l’avoir laissé devenir adulte en lui montrant qu’il est fort et qu’il a de l’ascendant sur vous. Ces chiens exigent une prise en charge professionnelle, prudente et experte.
Mais il existe aussi des cas extrêmes, lorsque l’apprentissage du danger est profondément ancré. Les plus dangereux sont ceux qui n’ont aucune raison de cesser leurs mauvais comportements et ils resteront à vie des chiens dangereux que l’homme n’aura pas su domestiquer, éduquer, comprendre…..
Le rôle de la rééducation sera de leur apprendre à tolérer ce qui les irrite. Un chien qui mord parce qu’il n’a pas envie que vous vous approchiez quand il mange, peut apprendre à vous tolérer, mais vous ne mettrez jamais la main dans sa gamelle.
Certaines limites demeureront. Un chien qui a mordu conservera toujours la mémoire de son efficacité. Il pourra apprendre à se contrôler, mais sa vigilance ou sa réactivité ne disparaîtront pas totalement.
Ils n’oublieront jamais qu’ils ont un moyen de pression contre vous. Ils resteront à vie des chiens techniques à ne pas mettre entre toutes les mains..
L’objectif n’est pas d’effacer un passé, mais d’apprendre au chien à gérer autrement. On ne « guérit » pas la dangerosité, on enseigne la tolérance et la maîtrise émotionnelle.
Souvent, les problématiques rencontrées chez les chiens dangereux sont récupérables. Il existe une infime partie des chiens dangereux qui le resteront et faute de maîtres patients et cohérents, sont souvent condamnés à l’euthanasie (Cf.Article/L’euthanasie).
La majorité des comportements dangereux trouvent leur origine dans une mauvaise adaptation du couple maître/chien : attentes irréalistes, méconnaissance du langage canin, gestion émotionnelle inappropriée, ou incohérences éducatives.
Cependant, cette même relation peut devenir le vecteur de la réhabilitation. L’humain détient la clé : comprendre, anticiper, s’ajuster.
Un encadrement professionnel, combiné à la volonté du propriétaire, peut transformer une situation critique en relation stable et apaisée.
Des chiens comme Simba, Aslan, Neo sont dangereux par la faute de l’humain et c’est à nous humains de les aider à recréer du lien avec l’humain. De faire notre possible pour réparer, mettre en place un mode de communication approprié et satisfaisant pour bien vivre ensemble, avec confiance.
Si vous adoptez ce type de chien avec suspicion de dangerosité, vous devrez vous armer de patience, ne jamais rien lâcher, dire « Non » fermement, sans brutalité et bienveillance. Ce sont des chiens qui peuvent vous demander beaucoup de votre temps, de votre disponibilité, mais comme tous les chiens, ils vous apporteront beaucoup d’amour en retour.
Les maîtres de chiens dits dangereux ont le devoir de cadrer leur chien, d’anticiper pour que le danger soit évité (port de la muselière, longe, rééducations auprès d’éducateur(e) canin aguerri(e)).
Vous avez un doute quant à votre animal ? Il est difficile de lister tous les signes qui doivent vous alerter sur le niveau de dangerosité de votre chien. Comment expliquer la différence entre pincer et mordre puisque cela relève d’un mode de communication animal dont l’éducateur(e) est familier.
N’attendez pas ! Avant qu’il ne soit beaucoup trop tard et que vous soyez obligé de faire euthanasier (Cf.Article/L’euthanasie : Jusqu’où peut-on aller ?) ou de placer en refuge votre animal. Parlez-en à un(e) professionnel(le) de l’éducation canine.
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